Universal Document Converter, un logiciel de fCoder Group, Inc., apporte aux rédacteurs indépendants un moyen élégant de protéger leur production contre les copies non autorisées.
L’introduction de l’informatique dans la plupart des domaines de notre vie et le développement d’Internet ont mis à la disposition de nombreuses personnes les outils dont elles avaient besoin se lancer dans les affaires. À partir du moment où l'on dispose d’une liaison Internet, pour dénicher un nouveau client ou afficher une publicité, on n'a pas besoin de quitter le fauteuil, voire la chaise longue de la plage !
La vie d’un rédacteur indépendant se déroulerait « comme un long fleuve tranquille » si ce rédacteur n’était pas parfois confronté au risque de voir son travail détourné par un tiers, sans rétribution pour lui, par exemple à l’occasion d’une soumission non facturable. Immédiatement derrière mais tout aussi capitale, se pose la question de la compatibilité entre la production du rédacteur indépendant et la machine de son client. À titre d’illustration, prenons le cas d’une personne désirant se faire construire une résidence secondaire et dont les connaissances en informatique se limitent à l’échange de courriers électroniques et à l’affichage des photos de famille. Comment cette personne procédera-t-elle pour examiner les bleus définitifs ? Elle qui ne sait même pas qu’il existe un logiciel du nom d’AutoCAD !
Compatibilité entre documents
Le développement intensif de technologies de pointe a produit des différences sensibles entre les installations logicielles par défaut que l’on rencontre sur des ordinateurs de provenance diverse. La seule chose dont on soit certain, c’est que la machine possède un système d'exploitation récent : Windows de Microsoft, Linux ou Mac OS. Le problème de compatibilité n’a donc qu’une solution : convertir tous les documents dans un format reconnu par tous les systèmes d'exploitation.
Les deux meilleurs candidats à ce rôle sont les formats TIFF et JPEG, car tous les systèmes d'exploitation possèdent un visualiseur assurant l’affichage des images ayant l’un ou l’autre de ces formats. Les fichiers TIFF ou JPEG sont en mode point, autrement dit, ils sont « gelés ». Donc, non seulement le client peut ouvrir le document que vous avez préparé et l’imprimer sans l’altérer, mais le document est à l’abri de toute modification accidentelle. Après avoir converti le format d’un dessin, d’un plan ou d’un texte en format TIFF ou JPEG, vous pouvez sans crainte adresser le document au client, même s’il est en déplacement et ne dispose, pour le consulter, que d’un portable ou d’un assistant personnel. La conversion au format TIFF ou JPEG permet de coller un dessin ou un schéma électrique dans une présentation PowerPoint ou une animation Flash. Le format JPEG apporte une aide supplémentaire aux concepteurs de site Web : les captures d’écran des sites déjà publiés permettent la création de portfolios en ligne et l’illustration des présentations PowerPoint ou Flash. Le format TIFF assure aux graphistes la compatibilité entre les maquettes d’origine, contenant des textes rédigés en plusieurs langues, des polices dessinées sur demande et des éléments graphiques, avec les postes de travail de l’imprimeur.
Tous droits réservés
Les fichiers graphiques en mode point tels que TIFF et JPEG sont universels et diminuent le risque de copie non autorisée. La protection tient à la nature même du fichier image en mode point : les textes comme les éléments graphiques sont présents sous la forme d’une image graphique intégrée. En conséquence, le contenu du document ne peut pas être mis en valeur par le curseur puis placé sous le presse-papiers par la combinaison Crtl+C. N’oublions pas que pour faire valoir ses droits sur un texte ou un dessin copiés manuellement, le propriétaire ne peut que s’adresser au tribunal. Toutefois, et l’expérience le prouve largement, dans la majorité des cas, ne pas fournir l’opportunité d’utiliser gratuitement une maquette ou un projet, constitue le meilleur moyen de se protéger du plagiat.
La conversion des dessins et des plans au format TIFF ou JPEG, est un bon moyen de protection, mais il peut se révéler insuffisant dans le cas des textes puisqu’un fichier en mode point peut être reconverti en mode texte à l’aide d’un logiciel de reconnaissance optique des caractères et il en existe de nombreux, y compris certains gratuits.
La protection raisonnable des textes contre le plagiat passe par la conversion du fichier qui les contient en fichiers PDF en mode point. En raison du degré élevé de complexité du format PDF, il n’existe pas de logiciel gratuit pour revenir d’un fichier PDF en mode point à un fichier texte de qualité acceptable, et ceux qui existent sont très onéreux. En fin de compte, il revient moins cher de payer un rédacteur indépendant plutôt que de perdre son temps et son argent à utiliser le contenu d’un document « gratuit ».
Nous devons souligner que la conversion d’un fichier en un fichier au format PDF en mode point n’est pas exempte de difficulté. Tout d’abord, on doit s'assurer qu’Acrobat Reader est installé, ce qui est en général le cas, d’autant plus que ce logiciel est gratuit. Ensuite, les moteurs de recherche sont impuissants face au contenu des fichiers PDF en mode point, ce qui n’est pas leur cas si le fichier est en mode texte. Mais utiliser le format PDF en mode point est une protection sûre contre le vol. Enfin, les fichiers PDF ne peuvent pas être intégrés aux présentations PowerPoint ou Flash. Toutefois, l’objectif principal visé n’était-il pas la protection des droits d’auteur et pour cela, le format PDF en mode point ne donne-t-il pas entière satisfaction ?
Le choix des armes
La méthode de conversion du format d’un fichier en format graphique en mode point ou PDF semble compliquée. En réalité, il n’en est rien et même un enfant est capable de s’en charger avec l’aide du logiciel Universal Document Converter, spécialement conçu pour cela par la société fCoder Group, Inc.
Grâce à lui, convertir en format TIFF, JPEG ou PDF est aussi simple qu’imprimer une page.
Soulignons également, qu’après son installation, Universal Document Converter apparaît dans la liste des imprimantes, ce qui veut dire qu’exporter un document ayant le format requis n’exige rien de plus que l’« imprimer » grâce à l’unité d’impression virtuelle. La reproduction est toujours l’image fidèle de l’original et l’affichage d’un document créé de cette manière est possible sur tous les ordinateurs. La simplicité d’emploi et l’excellente productivité d’Universal Document Converter en font un produit de plus en plus apprécié et exigé par les rédacteurs ou concepteurs indépendants du monde entier.
